Cam girl: le petit boulot préféré des étudiantes
De plus en plus de jeunes filles étudiantes font actuellement du cam girl pour financer leur étude. Facile à faire et plutôt payant, c’est aussi un métier qui ne requiert pas trop d’exigence. En effet, il ne nécessite pas une longue formation et peu importe votre morphologie, vous pouvez être prise si vous savez bien comment animer les hommes.
Le chaturabate est plus payant que le babysitting
Avant, pour arrondir leur fin de mois, pas rares sont les étudiantes qui se lancent dans le babysitting. Parfois assez pénible, garder les enfants des autres n’est pas trop payant surtout si on loue un appartement pour soi toute seule. Or, quand on fait du sex cam, on peut gagner deux à quatre fois plus. Effectivement, certaines hôtesses peuvent même amasser mensuellement jusqu’à 5000 euros ce qui tout simplement le salaire d’un cadre supérieur en France.
Les recruteurs sont très nombreux
A part les salaires attractifs, les recruteurs dans le secteur du chaturbate sont aussi très nombreux. Sur cette page de xlovecam par exemple. On y recense tous les jours près de 300 jeunes hôtesses sexy qui sont la plupart des étudiantes. Et comme elles travaillent en rotation, le nombre total des cams girls qui travaillent pour eux sont environ 1000. Pourtant, ce n’est pas le seul site de Chaturabate en France. Si on fait une somme global donc, une dizaine de milliers d’étudiantes pourraient travailler dans ce secteur.
Même si à chaque animation sexy, on voit bien le visage de l’hôtesse, la plupart d’entre elles font tout pour ne pas se faire reconnaitre. De ce fait, elles mettent beaucoup de maquillages et utilise une perruque pour passer inaperçu. Certaines vont même assez loin en portant des faux tatouages et piercing.
Elles peuvent choisir les horaires qui les conviennent
Ce qui est aussi intéressant avec le métier d’hôtesse webcam, c’est que la fille a une liberté assez large sur l’horaire. A sa guise donc, elle peut travailler le jour ou la nuit. Néanmoins dans la plupart des cas, pour les étudiantes, elle favorise la nuit et les weeks ends car non seulement il y a plus de gens durant ces plages horaires, mais aussi, ça leur donne le temps de bien suivre les cours.
A part l’horaire, une cam girl peut aussi travailler directement chez elle. Il suffit tout simplement d’avoir une webcam hd et une connexion de bonne qualité pour être opérationnelle.
C’est mieux que de faire de l’escort
Outre le téléphone rose, le chat sexy et le sex cam, pas rares aussi sont les étudiantes qui deviennent des escorts girls pour avoir une fin de mois moins dure. Profil très recherché par beaucoup d’hommes, une jeune escort peut facilement gagner 150 à 200 euros de l’heure. Et pour les plus expérimentés cet honoraire pourrait constituer le double. Mais le souci avec le métier d’escort, c’est qu’il est très contraignant. En effet, sur une longue période, le fait couché tout le temps avec un inconnu pourrait être assez désagréable. Aussi, il y a également le risque de tomber accidentellement enceinte ou attraper une maladie vénérienne. Et sur le plan social, si des gens apprennent qu’on est une escort, on peut très vite avoir une très sale réputation. Mais pour un cam girl par contre, c’est moins compliqué. Déjà, comme elle ne couche pas directement avec son client, elle n’a aucune angoisse. Après, pour la confidentialité, il suffit tout simplement de bien insonorisé son appartement et le tour est joué. Néanmoins, quand on fait du sex cam, il faut toujours collaborer avec une plateforme de confiance. Dans les cas échéant, vos vidéos peuvent très rapidement être publiées sur le web et pour votre image, c’est toujours désagréable.
L’histoire d’une amie cam girl
Avant de finir cet article, je compte vous raconter l’histoire d’une amie très proche qui est cam girl. Agée de 20 ans, elle est en troisième année de licence en anthropologie. Travaillant d’abord chez Mac Do quand elle était en première année, elle a eu une grande difficulté à suivre les cours. C’est alors que son colocataire lui a proposé de devenir hôtesse web cam. Plutôt grosse, elle avait eu peur de ne pas être recrutée. Mais à sa grande surprise, sa candidature a été retenue dès la première fois où elle a postulé. Après une formation, son employeur lui a proposé de faire du masochisme. Et comme c’est une fille assez dominante, c’était assez facile pour elle de jouer ce rôle. Toutefois, au début, elle était en rogne car selon le terme de son contrat, c’est à elle de se procurer des sextoys et autres déguisements relatifs à son métier. Elle a quand même accepté et assurait son show entre 20h et 1h du matin.
Dès la première semaine, elle était très populaire et a pu très vite amasser des milliers d’euros. Actuellement, elle est en train de bien réfléchir sur ce qu’elle va faire car entre devenir anthropologue et gagner un petit salaire ou travailler comme cam girl et avoir 5000 euros par mois, le choix est assez difficile. En effet, même si c’est un métier très payant, si elle lâche ses études elle n’aura pas de plan B si elle compte un jour changer de carrière.
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